Le ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, sous le leadership du Dr Oumar Diouhé Bah, poursuit résolument sa dynamique de réforme et de modernisation du système de santé guinéen. Au cours de la semaine du 7 avril 2025, une étape importante a été franchie dans le processus de reconstruction de trois établissements sanitaires majeurs : l’Hôpital National Ignace DEEN, l’Institut de Nutrition et de Santé de l’Enfant (INSE) et le Centre Médical Communal (CMC) de Matam.
Dans un esprit de transparence absolue et d’inclusivité, un Comité technique de revue des offres a été mis en place par le Ministre. Présidé par la Secrétaire générale du ministère, Mme Khaité Sall, ce comité illustre parfaitement la nouvelle gouvernance portée par le Dr Oumar Diouhé Bah : une gouvernance axée sur la rigueur, la participation de tous les acteurs clés et la recherche d’excellence dans l’intérêt des citoyens.
Un comité pluraliste et rigoureux
Le comité, qui s’est réuni, comprend des représentants de plusieurs entités stratégiques : cadres techniques du ministère de la Santé, membres de ministères sectoriels partenaires, représentants du Bureau de Suivi des Priorités Présidentielles et de l’Agence de Contrôle des Grands Projets. Ce dispositif interinstitutionnel garantit une évaluation croisée, professionnelle et indépendante des propositions reçues.
Une dizaine d’entreprises nationales et internationales, soumissionnaires pour ces projets d’envergure, ont été auditionnées. Chaque rencontre a permis de passer au crible l’expérience des entreprises, la solidité de leur montage financier, ainsi que la qualité des plans architecturaux proposés.
L’objectif est clair : sélectionner les meilleures offres, à la fois fiables, crédibles et innovantes, pour construire des structures hospitalières modernes, fonctionnelles et durables.
Un engagement fort pour le bien-être des populations
Cette initiative s’inscrit pleinement dans la vision du Président de la République, le Général Mamadi Doumbouya, qui a, depuis le 5 septembre 2021, placé le bien-être des populations et l’amélioration du système de santé national au cœur de son action gouvernementale. Depuis lors, des réformes ambitieuses ont été lancées dans le secteur, parmi lesquelles la construction et la réhabilitation d’infrastructures sanitaires sur l’ensemble du territoire, de Conakry jusqu’aux zones les plus reculées du pays.
Dr Oumar Diouhé Bah et son équipe, fidèles à cette vision, entendent faire de chaque projet une opportunité de redorer le blason du service public de santé. La reconstruction d’Ignace DEEN, de l’INSE et du CMC de Matam marque une étape symbolique dans cette transformation. Il ne s’agit pas seulement de bâtir des murs, mais bien de bâtir la confiance, l’accès équitable aux soins et la dignité sanitaire.
Une gouvernance exemplaire, un modèle à suivre
La mise en place d’un comité pluraliste, les critères d’évaluation rigoureux, la consultation ouverte avec les entreprises : tout dans ce processus témoigne d’une volonté politique assumée de rompre avec les pratiques opaques du passé. En misant sur la transparence, la compétence et la responsabilité partagée, le ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique envoie un signal fort à la nation : l’intérêt public primera toujours sur les intérêts particuliers.
Ce modèle de gestion pourrait bien inspirer d’autres secteurs. Il rappelle que, dans une Guinée en reconstruction, chaque franc investi dans la santé doit être utile, traçable et efficace.
Une vision à long terme
Au-delà de ces projets en cours, cette dynamique s’inscrit dans le cadre plus vaste du programme “Simandou 2040”, pilier stratégique de développement national. Le secteur de la santé, pilier du capital humain, y occupe une place centrale. L’ambition est claire : faire de la Guinée un pays où chaque citoyen, où qu’il soit, a accès à des soins de qualité dans des infrastructures modernes.
Avec des cadres intègres comme Dr Oumar Diouhé Bah à la manœuvre, cette ambition devient chaque jour un peu plus concrète. La reconstruction de ces établissements majeurs n’est qu’un début : la santé publique guinéenne se relève, et elle avance avec méthode, responsabilité et vision.